Pour sa douce sonorité ainsi que l’amour que se glisse dans le mot ama et la stabilité d’un "pôle". C’est pour toutes ces raisons qu'Amapola était la première appellation que m’inspirait ce nouvel espace, ce nouveau projetTrès heureuse, je le soumis au comptable pour vérifier si ce nom était déjà donné à une autre entreprise. Je fis aussi mes petites recherches et ne trouvai de mon côté aucune société de ce nom. Rassurée, enthousiaste, Amapola résonnait quotidiennement et je sentais ses vibrations en totale cohérence avec le lieu. Après deux semaines, le comptable m’informa que ce nom était déjà pris. Il était donc préférable de changer. Contrariée et déçue, je me revois encore soupirer en répétant comme c’est dommage, j’aimais tant Amapola…C’est alors que mon cher et tendre me souffla : « Ajoute un L et ça donnera Almapola, c’est aussi beau et ça n’existe sûrement pas encore ».
Ainsi amapola est devenu Almapola. Alma, c’est l’âme, toujours en espagnol (on est plutôt latin dans la famille) ! L’ajout du L dans la symbolique des lettres hébraïques, « L » Lamed, est l’aiguillon d’amour. L, la lettre qui monte au-dessus de la ligne d’écriture dans sa partie supérieure et nous relie aux plus hauts plans de Lumière et de Connaissance et dans sa partie inférieure représente le corps, le plan manifesté. De manière très intuitive, cet ajout du « L » a ajouté une dimension vibratoire supplémentaire dans ce lieu dans lequel le ciel et la terre se rejoignent.
Almapola, ce lieu de quiétude, a fêté ses 5 années d’existence cette année.
Puisse ce lieu Almapola nous aide à maintenir cette quiétude en nous.
Puissions-nous, dans la contenance de la quiétude, croître la liberté d’être soi-même dans le respect de l'autre.
En ce moment de fin d’année que je vous souhaite de passer tout en douceur, j'en profite pour vous dire merci de votre confiance, merci à toutes celles et à tous ceux qui sont venu chanter la gratitude de ce lieu…
Merci encore à toutes celles et ceux qui sont venus, qui viennent et qui viendrons rendre ce lieu encore plus vibrant de Vie !
Merci d’avoir fait grandir ce projet ensemble car ensemble nous grandirons...
Le coquelicot est resté dans le logo. Et je découvre que cette fleur a inspiré une méditation que voici. Je vous souhaite une merveilleuse année 2020 et comme les coquelicots, tournons-nous vers la lumière…
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En savoir plusNewsletter été 2024 Hommage à Arno Stern
« Quand on cherche, reprit Siddhartha, il arrive facilement que nos yeux ne voient que l'objet de nos recherches ; on ne trouve rien parce qu'ils sont inaccessibles à autre chose, parce qu'on ne songe toujours qu'à cet objet, parce qu'on s'est fixé un but à atteindre et qu'on est entièrement possédé par ce but. Qui dit chercher dit avoir un but. Mais trouver, c'est être libre, c'est être ouvert à tout, c'est n'avoir aucun but déterminé. » Herman Hesse Siddhartha
Quand on demandait à Arno Stern s'il était un chercheur, il répondait, « Non, je suis un « trouveur » : je n’ai jamais rien cherché, j’ai trouvé ce tracé organique (la Formulation), car justement, je ne cherchais rien. » (vidéo).
Il y a des rencontres qui changent notre vision du monde jusqu’à transformer la trajectoire de nos vies. Almapola, un lieu qui inspire la quiétude, des pratiques qui nous invitent à être soi-même parmi les autres, est un espace largement inspiré par l’œuvre d’Arno Stern. Beaucoup d'entre vous, qui lisez cette newsletter, m’ont connu grâce à lui.
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« En vous autorisant à changer de regard sur le monde, sur les autres, et vous-même, vous cessez de vous battre pour survivre et la Vie œuvre en vous avec fluidité » Jean-Philippe Brébion*
J’aime prendre ce temps de réflexion et le partager avec vous dans ces newsletters saisonnières. C’est par la diversité de nos expériences que nous apprenons à mieux concevoir les potentiels humains tapis au fond de nous et à nous défaire, nous délester de ces nombreuses croyances limitantes qui entravent nos propres potentiels. Ma dernière newsletter parlait de cette émotion mise en relief depuis un certain temps, tellement contagieuse et logée au plus profond de notre inconscient : la peur ! Combien l’expérience des Kogis est inspirante tant dans leur façon de la transcender que dans leur manière de vivre. « Les Kogis ne luttent pas pour mettre en œuvre leurs pensées et leurs idées, pour eux, il n’y a pas de tension entre la théorie et la pratique. » **Je poursuis, en ce printemps 2023, cette réflexion - passer de la lutte à la fluidité - en vous partageant l’expérience de Jean-Philippe Brébion.
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Servir avec bienveillance est la fonction du praticien-servant du jeu de peindre. Cela étonne bien souvent les nouveaux participants. Nous nous sommes habitués au rôle du professeur qui enseigne, qui conseille, qui juge et qui en sait forcément mieux qu’autrui. Être simplement attentif aux besoins de chacun, tout en étant le gardien d’une structure qui accompagne, sans modèle, sans jugement, sans interprétation, sans gratification, sans pression de performance… demande beaucoup d’humilité.
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